En cette rentrée scolaire, les enfants qui, l’été dernier, ont participé aux programmes offerts par sept groupes soutenus par la Guelph Neighbourhood Support Coalition (GNSC) ont un regain d’intérêt pour les STIAM (sciences, technologie, ingénierie, arts et mathématiques).
Des camps ont été offerts à faible coût ou gratuitement aux enfants du quartier, et particulièrement à ceux qui, selon les organismes partenaires de la collectivité, avaient besoin d’attention, parce qu’ils venaient d’arriver au Canada, éprouvaient des difficultés financières ou souffraient d’un traumatisme.
Pour les camps qui ont un budget serré, les coûts élevés associés à l’achat de matériel comme des microscopes et l’embauche de moniteurs supplémentaires pour mener les activités STIAM sont des obstacles qui empêchent d’offrir ce type de programmes pratiques. Un don de 31 000 $ versé par la Fondation Cowan a permis de donner vie à ce type de programme.
« Lorsque des activités STIAM sont intégrées aux programmes offerts par les groupes de quartier, les effets en sont toujours tangibles. Cependant, les frais supplémentaires qui accompagnent de telles activités nous empêchent de mettre ces programmes de l’avant, explique Sarah Stubbs, coordonnatrice en matière d’engagement des jeunes auprès de la GNSC. Grâce au don consenti par la Fondation Cowan, nous avons été en mesure d’embaucher du personnel de soutien pour nouer des relations plus profondes avec les participants, augmenter la confiance du personnel et des jeunes envers les activités STIAM et éveiller l’intérêt des jeunes à l’égard d’un certain nombre de domaines de pointe. Pour les enfants, la capacité d’explorer, d’apprendre à utiliser de nouveaux matériaux, d’émettre des hypothèses et de faire des erreurs, le tout dans un environnement sûr et favorable, c’est tout simplement transformateur. »
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